mercredi 28 avril 2010

"- tu vas lui dire hein, à Anna que j'ai mal au bout du nez?
- oui trésor, nous allons l'appeler, tu lui diras.
- oui mais mon bout du nez il veut pas avoir mal, il faut qu'elle rentre, elle me manque Anna"

et au même moment à quelques kilomètres, première fois que notre nana a le cafard chez ses grands parents, elle demande à rentrer.

lundi 26 avril 2010

elle se déplace

des petits coups de rein, elle pousse sur les talons et la voilà qui quitte son tapis...
idem sur mes cuisses...
elle part la belette... elle s'échappe... mais hop des mains la rattrapent et la replacent.
Première semaine des vacances, Anna cherche à se faire inviter chez ma soeur ainée "une marraine ça sert à nous aimer, nous apprendre des choses, nous aider, nous apprendre à compter, à dormir chez elle!"
Une dizaine de jours plus tard, Ange "Moi je voudrais que Juliette soit ma marraine. Je dormirai avec Esteban et on jouerait au camion poubelle"
Un très grand sourire en guise de réponse.
Parce que je trouve jolie cette demande, parce que oui jouer c'est important mais encore plus quelque part où nous nous sentons bien...
J'aime beaucoup constater que pour cette toute douce, David a du temps. Du temps pour elle, pour lui, pour eux, pour nous, des temps câlins, des temps d'attente, des temps pour bercer, des temps de premiers sourires, des temps calmes.
ll peut enfin profiter, partager, supporter aussi ;) et cela fait du bien à toute la famille.
2 tout petits à suivre et un restaurant qu'il ne pouvait pas quitter l'ont privé de ces moments là si précieux, bien sûr il y en a eu d'autres mais quand même il créé une relation très différente avec cette petite chérie du quotidien et du plaisir, il n'a pas à voler du temps pour profiter pleinement de ses enfants.

Un sommeil que rien ne trouble



surtout pas son grand frère pianotant chez Jean.


habituée à faire les choses à la dernière minute, voire à les reporter, m'y retrouvant dans une désorganisation totale, je me suis dit que je devais être la fautive, mais non, c'est bien la poste qui a fait voyager le faire part de Perrine à droite, à gauche avant qu'il n'arrive à destination...
Tout de même, je m'interroge, il m'en reste 2 à la maison, qui ai-je oublié?

mardi 20 avril 2010

ronds, ronds, les macarons

un colis anglais

la sonnette retentit, nous sortons la tête des tas que nous avions entrepris de ranger, on ouvre ou pas? Allez, osons ouvrir la porte sur ce grand désordre...
Le facteur, un colis.
Un grand sourire sur le visage de 2 petits loups, nous ouvrons et découvrons un très joli portique.
Merci, merci pour ce cadeau qui est désormais incontournable lorsque l'on a besoin de distraire notre toute douce. C'est merveilleux de savoir qu'elle y restera à gazouiller le temps d'une histoire aux grands, d'une machine qu'on étend à 4 mains avec Anna, d'un thé, de quelques pages..






le temps de le monter, la douce s'est endormie certes, mais observe la quelques jours plus tard, tout en restant sur le pas de la porte, je lui ai volé quelques sourires et ai écouté de délicieux gazouillis, on te les doit C. Merci c'est si précieux!


les photos n'en font qu'à leur tête, laissons les ainsi, tant pis.




dimanche 11 avril 2010

de grands yeux...

chasse aux oeufs



des oeufs à gogo cachés dans le jardin de papi Yann...


jeudi 8 avril 2010

mais nous avons ça!

perrine et ses sourires, avancez à la moitié de la vidéo ;) désolée pour la qualité, bon je file, je suis en retard maintenant!
ici!

mercredi 7 avril 2010

7 semaines?

déjà elle n'émet plus ces petits grognements dignes d'un lionceau en prenant le sein.
déjà elle n'est plus ce tout petit regroupé sur lui-même.
déjà elle n'est plus celle qui reste imperturbable.
déjà elle n'a plus cette toute petite voix.
déjà ce n'est plus ce petit bébé que l'on déplie peu à peu pour le changer.
déjà elle ne passe plus dans ces premiers vêtements.

elle s'étire, elle pousse sur ses jambes pour chercher à atteindre les visages des aînés penchés au dessus d'elle, elle observe attentivement les nouveaux visages, elle écoute les bruits, reconnait l'entrée de son papa le soir quand tout est redevenu silencieux, le boude lorsqu'il s'est absenté trop longtemps en détournant ses yeux de lui, elle est entrée dans l'action, dans l'interaction, rit, fait des mines tristes lèvres tombantes, attrape mes vêtements pour mieux assurer encore sa prise au sein (oui oui j'écourte parfois les tétées pour répondre aux autres, ou du moins je le faisais car maintenant la demoiselle sait m'indiquer qu'elle ne lâchera pas), caresse de ses doigts mon visage au petit matin et pleure dès que je quitte le lit, elle se déplie vers une vie qui devient plus que la douceur du lait et des songes.

mais elle ne fait pas encore plus de milles choses et fort heureusement elle reste notre toute douce si petite.